Abstract

Informed by Giddens' (1991) concept of reflexive life planning and the notion of later life as a time of increasing social and financial risk, this research explores the idea of reflexive planning for later life. We utilize a conceptual model that incorporates three types of planning for later life: public protection, self-insurance, and self-protection. Drawing on qualitative, life-history data from a study of 51 mid-life and older Canadians, we examined whether individuals recognized the risks associated with later life, and if so, how far these recognitions entered into the preparations people made for their futures. We also considered how social circumstances facilitate and/or constrain an individual's planning for later life. Overall, most participants recognized risks and engaged in reflexive planning. On the other hand, there was a small group of non-planners, or day-by-dayers who were getting by with little preparation. We suggest that what distinguishes these groups is that the former have a future time perspective, which is associated with certain socio-demographic characteristics, including high household

Cette recherche, qui s'inspire du concept de « planification réflexive de la vie » de Giddens (1991), et de la notion qu'au troisième âge les risques sociaux et financiers sont plus grands, explore l'idée de planification réflexive du troisième âge. Nous nous sommes servis d'un modèle conceptuel intégrant trois types de planification du troisième âge : protection de la population, autoassurance et autoprotection. Nous avons utilisé des données qualitatives sur le cycle de vie de 51 Canadiens adultes et âgés pour savoir s'ils connaissaient les risques associés au troisième âge et, dans l'affirmative, dans quelle mesure ils tenaient compte de cette réalité dans leurs préparations d'avenir. Nous nous sommes également demandés si le contexte social facilite ou entrave la planification du troisième âge. La plupart des participants sont conscients des risques qu'ils courent et planifient en conséquence, mais nous avons rencontré un petit groupe d'individus qui vivaient « au jour le jour » et se tiraient d'affaire avec peu de préparation. Nous pensons que ce qui distingue ces deux groupes est que le premier a une perspective temporelle de l'avenir, liée à certaines caractéristiques sociodémographiques, comme un revenu du ménage élevé.

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